Le mot du fondateur
Il y a un peu plus de 2000 ans, un sage a fait cette déclaration : « Il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir» (cf. La Sainte Bible. Livre des Actes.Chapitre 10: 35).
L’objet de la Fondation JoNaReEsBen est de promouvoir une forme de solidarité humaine. J’ai toujours considéré qu’on ne peut être heureux qu’en partageant avec les autres ce que l’on a de plus précieux : la connaissance, le savoir-faire & l’expérience, l’argent & les possessions matérielles, le temps, les énergies et ressources physiques, …
D’origine africaine, j’y ai vécu longtemps avant de poursuivre ma carrière
durant une vingtaine d’années en Europe et aux Antilles françaises. Ce parcours m’a permis de prendre davantage conscience des disparités, ô combien grandes,
qui existent entre les pays dits « en voie de développement » et ceux dits
« riches », tout en me demandant combien de siècles seraient nécessaires à combler ce fossé. Le bilan que je fais de ma vie jusqu’ici m’emmène à me
considérer comme étant un privilégié, conscient de n’avoir pas eu à souffrir de la faim, du manque d’eau potable, du manque de soins médicaux, de l’illettrisme, comme près de la moitié des ressortissants de l’Afrique subsaharienne.
La Fondation JoNaReEsBen
Le projet de la Fondation JoNaReEsBen, structurée en 2013 tant qu’association à but non lucratif de Droit Luxembourgeois, est né en 2010 de la volonté de cadres (débutants, supérieurs et dirigeants), principalement d’origine africaine, établis depuis plusieurs décennies en Europe et dans la Caraïbe et travaillant au sein de plusieurs sociétés
spécialisées dans le Conseil et l’Ingénierie financière, liées par un actionnariat familial privé. La vocation de la Fondation est de contribuer au développement d’une solidarité réelle tournée vers les populations de l’Afrique subsaharienne.
La spécificité de la Fondation est de s’inscrire dans une approche à la fois laïque et interculturelle pour tenter de faire émerger les conditions et modalités d’émancipation des individus dans différents contextes (social, professionnel, associatif, éducatif, etc.) en encourageant les échanges de bonnes pratiques, mais également en favorisant la mutualisation des bonnes volontés (tous ceux qui, par leurs ressources matérielles et intellectuelles, par leur expérience ainsi que leur
disponibilité, peuvent contribuer à la matérialisation de cette initiative humanitaire).
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